Avec Les voyages, l’imaginaire s’envole vers une ville; un lieu qui n’existe peut-être pas, mais dont chaque spectateur reconnaît quelque chose : un souvenir, une émotion, une envie d’ailleurs. Les bâtiments s’empilent comme des rêves superposés, leurs fenêtres ouvertes sur la lumière rappellent les chemins que l’on emprunte et ceux que l’on n’a pas encore osé explorer.
Le bleu omniprésent incarne la profondeur, la liberté, l’appel du vaste. Les touches d’orange réchauffent la scène, comme les rencontres inattendues et les moments de joie qui ponctuent un voyage. C’est une carte qui parle de mouvement, de transformation, de l’envie de franchir des frontières ; géographiques autant qu’intérieures.
Elle invite à partir, pour quelques kilomètres ou vers l’autre bout du monde, mais toujours avec le même élan : celui d’élargir son regard et de laisser la vie surprendre. Les voyages devient alors un talisman pour celles et ceux qui ressentent l’appel du large, un rappel doux et lumineux que l’aventure commence dès que l’esprit s’ouvre.
