Avec Le voyage céleste, j’ai voulu raconter une autre façon de se sentir vivante : celle qui naît lorsqu’on ose monter sur une moto et regarder le monde différemment. J’ai imaginé cette femme sereine, posée sur sa machine violette, non pas dans un élan de vitesse, mais dans un moment suspendu avant le départ.
La moto devient un symbole de liberté : solide, puissante, presque mythique. Elle porte des motifs inspirés du cosmos pour rappeler que chaque trajet peut devenir une aventure intérieure. La femme, elle, reste calme, confiante, connectée à elle-même, comme si elle s’apprêtait à traverser un paysage imaginaire où la route mène directement vers ses rêves.
Dans cette œuvre, je cherche à montrer qu’on peut être forte et douce à la fois. Que l’audace peut cohabiter avec la tranquillité. Et que prendre la route, même en pensée, est déjà une manière d’aller vers son propre bonheur.
